 Anthocyanines, cyanidine, delphinidine, 
malvidine, péonidine, pétunidine, bêta-carotène, acide chlorogénique, 
kaempférol, myricétine, acide p-coumarique, quercétine, acide félurique,
 proanthocyanidines, acide salicylique, fructo-oligo-saccharides, 
resvératrol, vitamine C, vitamine A, vitamine E, potassium, B2, B3, B9, 
magnésium, manganèse, fer, zinc.
Anthocyanines, cyanidine, delphinidine, 
malvidine, péonidine, pétunidine, bêta-carotène, acide chlorogénique, 
kaempférol, myricétine, acide p-coumarique, quercétine, acide félurique,
 proanthocyanidines, acide salicylique, fructo-oligo-saccharides, 
resvératrol, vitamine C, vitamine A, vitamine E, potassium, B2, B3, B9, 
magnésium, manganèse, fer, zinc.
Pointage CARO (antioxydant): 2400
Selon le Dr Jim Joseph de l’université Tufts aux Etats-Unis, les myrtilles procurent des bienfaits «anti-vieillissement», préviennent le déclin de la vieillesse mais semblent aussi pouvoir inverser certains aspects du vieillissement du cerveau. 
Le magazine Eating Well a nommé dans le passé la myrtilles  «fruit de l’année»,
 en raison de sa richesse exceptionnelle en substances antioxydantes 
protectrices de nos cellules. Dans le magazine Prevention, le Dr Holly 
Mc Cord a écrit: «Si vous ajoutez un aliment à votre alimentation cette année, optez pour la myrtille.».
Selon le chimiste de l’alimentation 
Wilhelmina Kalt du ministère Canadien de l’Agriculture et de 
l’Agro-alimentaire, la première source du prodigieux pouvoir antioxydant
 de la myrtille  vient de l’acide chlorogénique, une substance anticancéreuse reconnue. 
Toujours selon Kalt: «Dans certains fruits, on trouve 3, 4 ou même 5 types d’antioxydants anthocyanines, les myrtilles peuvent en contenir 25 à 30 !».
La myrtille  est aussi riche en substances anti-inflammatoires comme la cyanidine, un pigment qui contribue à l’action contre l’arthrite.
La phytophysiologiste Mary Ann Lili Smith, de l’université de l’Illinois a qualifié la myrtille de «petit fruit du cerveau». Des études, réalisées sur des rats, par  le Dr Jim Joseph de l’université Tufts, ont montré une nette amélioration de la mémorisation, de la coordination et de l’équilibre.
Des recherches de l’Université Princeton et de Salk Institute ont 
montré que les animaux et les humains peuvent fabriquer de nouveaux 
neurones. Les rats du Dr Jim Joseph de l’université Tufts ont fabriqué de nouveaux neurones, d’où l’amélioration des performances du cerveau.
La consommation de myrtilles améliore aussi la communication entre les cellules cérébrales, alors qu’avec le vieillissement,
 c’est justement le contraire qui se produit. Les récepteurs de surface 
des cellules cérébrales deviennent plus sensibles chez les rats 
consommant des myrtilles  .
Avec le vieillissement, notre cerveau 
élimine plus difficilement des protéines endommagées ce qui nuit aux 
communications neuronales. Les rats recevant des myrtilles  avaient moins
 de protéines endommagées dans le cerveau.
Des études réalisées à l’université de 
Floride du Sud par les Drs Jim Joseph, David Morgan et Gary Arendash ont
 montré, chez des souris atteintes de la maladie d’Alzheimer, une nette différence de performances cérébrales chez les souris recevant des myrtilles.
 D’autres expériences réalisées sur des souris par le Dr Jim Joseph ont montré qu’une alimentation riche en fraises et myrtilles pouvait bloquer les effets de l’exposition à des rayons nocifs.
 Jim Joseph nous dit: «Si vous pouvez exposer des souris à des rayons et
 que ceux-ci ne leur causent aucun effet nocif, c’est assez 
extraordinaire !».
D’autres expériences réalisées sur des souris par le Dr Jim Joseph ont montré qu’une alimentation riche en fraises et myrtilles pouvait bloquer les effets de l’exposition à des rayons nocifs.
 Jim Joseph nous dit: «Si vous pouvez exposer des souris à des rayons et
 que ceux-ci ne leur causent aucun effet nocif, c’est assez 
extraordinaire !».
Au niveau des yeux, la myrtille semble favoriser la régénérescence du violet rétinien,
 c’est-à-dire le pigment violet dans la rétine qui nous permet de voir 
dans la pénombre. Les extraits de myrtille semblent aussi améliorer la circulation dans la rétine.
Selon une étude publiée dans le Journal of Clinical Nutrition, la prise de myrtilles   augmente le niveau d’antioxydants dans le sang, augmentation qui semble alors jouer un rôle dans la prévention
 des maladies cardiovasculaires, du diabète, de la «sénilité», du cancer
 et de certaines dégénérescences oculaires comme la dégénérescence 
maculaire et la cataracte.
Les anthocyanes associées à la vitamine C et aux antioxydants végétaux renforcent la résistance des capillaires en stimulant la production du collagène,
 substance servant à la construction du tissu conjonctif. Les 
flavonoïdes – sous-classe des polyphénols -  favorisent également la 
vasodilatation et ont un effet inhibiteur sur l’agrégation plaquettaire et donc sur la formation des caillots.
Les tanins contenus dans les 
myrtilles calment les inflammations du système digestif alors que les 
polyphénols ont des propriétés antibactériennes.
Tout comme les canneberges, les myrtilles  ont des effets bénéfiques sur le système urinaire.
 Certaines substances empêchent la bactérie E.Coli de se fixer sur les 
parois de l’urètre et de la vessie, et par-delà de provoquer des 
infections.
 Emmanuelle LAMI
Comment protéger les muscles du stress 
oxydant lors d’un exercice physique intense ? Peut-être grâce aux 
myrtilles et à leurs antioxydants. D’après les chercheurs de l’Institut 
néo-zélandais de recherche sur l’alimentation et les végétaux, les 
extraits de myrtilles  réduiraient les dommages musculaires causés par le
 stress oxydatif
Les auteurs ont utilisé des cellules 
musculaires exposées à un stress oxydant et les ont exposées à des 
différentes doses d’extraits de myrtilles .
Résultat : les extraits de myrtilles  
protègent les cellules musculaires du stress oxydant. Par ailleurs, plus
 la dose d’extraits de myrtilles  est élevée, plus la protection est 
importante.
Des analyses suggèrent que ce rôle 
protecteur pourrait être joué par la malvidine glucoside et la malvidine
 glucoside, deux antioxydants de la myrtille.
R.D. Hurst, R.W. Wells, S.M. Hurst, T.K.
 McGhie, J.M. Cooney, D.J. Jensen ; Blueberry fruit polyphenolics 
suppress oxidative stress-induced skeletal muscle cell damage in vitro. Molecular Nutrition & Food Research, Volume 54 Issue 3, Pages 353-363″
Texte provenant du site LaNutrition.fr, le 06/04/2010
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Ces informations ne remplacent pas 
l'avis d'un médecin. N'arrêtez jamais vos médicaments sans l'avis de 
votre médecins. La santé ne repose pas sur la prise d'un aliment 
"miracle" mais sur l'adoption d'une alimentation équilibrée et d'un mode
 de vie sain. 
 

 
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